Nous avons passé les derniers jours
sur l'île de Vice et nous nous sommes dit, tant qu'à être ici,
aussi bien adorer ces quelques vices qui font de nous des vacanciers.
|
Faites une petite prière pour nos âmes de pécheurs, car ce sont deux péchés capitaux dans lesquels nous nous sommes vautrés
|
|
Panorama du village de Komiza où toute cette débauche a eu lieu, regardez comme cela me rend heureuse
|
|
Simon aussi à l'air assez à l'aise avec cela, mais on voit qu'il se tient dans l'ombre, l'endroit des pécheurs
|
Donc, commençons par le plus évident,
la paresse. Elle se décline toutefois en plusieurs versions car ici
tout est fait pour l'encourager.
Nous sommes restés étendus sur
la plage, à ne rien faire d'autre que mettre un peu de crème
solaire (nous sommes paresseux, mais tout de même responsable) et
aller nager un peu avec les poissons, non pas une, mais deux
journées.
Nous avons opté pour l'option
abeille jaune (il y avait le look, mais aussi l'effet sonore
désagréable) pour nous faire visiter l'île au lieu de l'option
sportive que plusieurs ont choisie, soit le vélo.
Nous avons délaissé les plaques
chauffantes de notre appartement pour aller souper au resto pas une,
mais bien deux fois.
|
Notre petite plage détente |
|
L'abeille en question
|
|
Chemin jusqu'à la plage qui nous demandait un effort de 15 minutes de marche
|
Dans une suite logique, nous retrouvons
aussi la gourmandise.
Des poissons, des calmars, de la
pieuvre, rien de trop beau pour nos palais côtiers.
Bon, il fait beau et il fait chaud
alors c'est certain qu'il y a eu de la crème glacée, cela n'entre
même pas dans la gourmandise, ce qui a été gourmand, ce fut de
prendre deux boules chacun!
Nous avons complété un souper
déjà pris au resto par un arrêt dans une pâtisserie pour se
prendre un gâteau chocolat orange. (Pour nous excuser, ce fut après
un plat un peu décevant de pieuvre dans une sauce au vin, mais le
plat était servi dans un sploush de sauce mauve avec quelques
patates trop bouillies)
|
Menoum, Menoum, quelle excellente entrée
|
|
Encore le sourire, mais c'était juste avant le plat de pieuvre
|
Ha, attendez, Paul Houde me souffle à
l'oreille que ce n'est pas l'île de Vice, mais bien l'île de Vis,
donc supprimez tout ce qui a été écrit précédemment; nous avons
passé nos trois jours sur l'île à faire de la construction au gros
soleil, une chance que Simon avait son tourne-vis.
|
Toute bonne chose ayant une fin, c'est le paysage lors de notre retour sur le continent en traversier |
Une fois de plus un texte qui nous fait sourire et rêver. J'en prendrais des tonnes de ces vices. On vous sent heureux et complices dans cette merveilleuse aventure. Bonne continuation. Gros bisous et on vous serre très fort. ����
RépondreSupprimerSylvie et Denys
Ouain... Vous menez pas une vie facile! Profitez de chaque moment magique que votre aventure vous offre! L'autre Sylvie
RépondreSupprimerNon, pas facile la vie de "Vices"! Tout ça nous met l'eau à la bouche et nous donne le goût aux vacances... d'été... Un jour ce sera notre tour bien qu'il nous sera difficile de rivaliser avec d'aussi beaux décors.
RépondreSupprimerGros Bis XX